« Par l’environnement, renvoyer une image positive de son activité économique »

D’abord Chargé d’Études Environnement à son entrée en août 2017 à BESIE puis Chef de Projet désormais, Naoufel Ed-Dahbi a suivi un intense parcours universitaire : une Licence Génie de l’Eau et de l’Environnement en 2014 à la Faculté des Sciences et Techniques de Mohammedia (Maroc), suivie d’un Master « Risques Environnement » en France à l’Institut Francilien des Sciences Appliquées de Paris-Est.

Puis, en juin 2018, Naoufel Ed-Dahbi obtient à Montpellier une certification SSIAP3 pour devenir à son tour formateur en Sécurité Travail et Incendie.

Une vocation déterminée qui a trouvé avec le Bureau d’Études BESIE le moyen de s’épanouir en suivant des projets de A à Z, du tout début du dossier de l’enquête publique jusqu’à l’obtention de son acceptabilité environnementale, « nous évaluons l’impact sur l’environnement puis on propose des mesures d’atténuation ou d’amélioration adaptées à chaque projet en utilisant les meilleurs outils techniques disponibles« .

La réglementation marocaine est rappelée : « au sens de la loi 12-03, est concerné tout projet d’activités, de travaux, d’aménagements et d’ouvrages, entrepris par toute personne physique ou morale, privée ou publique qui, en raison de leur nature, de leur dimension et de leur lieu d’implantation dans des zones sensibles ou protégées, doivent faire l’objet d’une étude d’impact sur l’environnement ».

Et de rajouter : « ce qui rend obligatoire le recours aux études d’impact sur l’environnement pour tous les projets mentionnés dans la liste annexée à ladite Loi »

Il y a également sa conviction personnelle, « Le Maroc a adopté une stratégie de développement durable qui favorise l’équilibre entre les dimensions environnementales, économiques et sociales ».

Un contexte propice à comprendre que les études d’impacts représentent donc une approche proactive et préventive en matière de gestion et de protection environnementales, « il faut en permanence garder à l’esprit ces aspects positifs pour une meilleure intégration du projet dans son milieu ».

Agir localement, pour convaincre globalement : « Créer de l’emploi dans un environnement protégé, c’est immédiatement envoyer une image positive de son activité économique », un pari gagnant-gagnant, au-delà de l’obligation légale, pour renforcer l’image de marque du porteur de projet.

Et les meilleures techniques sont désormais disponibles au Maroc, « portées par une économie qui ne décourage pas les entreprises ».

Cet accompagnement passe alors logiquement par la volonté que les sociétés qui s’adressent à BESIE pour leurs conseils de Bureau d’Études deviennent acteurs de la sécurisation de leur propre environnement.

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